Mange et bois
Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous (Jn.1; 14).
Pour connaître Christ comme Fils de Dieu: voir les 4 Évangiles.
Pour connaître son Église (petit troupeau, Épouse): lire attentivement les Actes des apôtres et les Épîtres.
Pour savoir ce qui attend l`humain après la mort: Approfondir l`Apocalypse.
Quel tristesse, que de voir des milliards de personnes qui ne connaissent Christ que comme ¨ Emmanuel ¨ Dieu avec nous (Matthieu 1; 23) puisqu`il fait lever son soleil sur les méchants et sur les justes, et fait pleuvoir sur les justes et les injustes (Mtt.5; 45) qui en général, ignore complètement son Église, Celle dont le Crédo a été posé le jour de la Pentecôte par l`Esprit-Saint de Dieu, en plus du Chemin donné de la sanctification menant à la vie éternelle écrit par la suite dans plus de 21 Livres (Épîtres).
Toutes ces personnes connaissent Christ que comme Fils de Dieu (Parole faite chair (Jn.1; 14) naissance, miracles, crucifixion, et résurrection,mais ignore complètement que les vrais adorateurs que le Père demande ce sont ceux qui adorent en esprit et en vérité (Jn.4; 23) car Dieu est Esprit (vs.24) et Christ et le Père ne font qu`un (Jn.17; 11).
La vie chrétienne c'est purement une expérience avec la Parole de Dieu, elle doit être réelle, tangible et savoureuse encore plus que la nourriture que nous mangeons chaque jour (Mat.4; 4) Notre vie spirituelle doit être comblée à la table écrite du Seigneur que nous ont dicté les apôtres, préparée pour nous, non une fois par mois ou par semaine, mais pour chaque jour de notre vie. Serait-il possible d'avoir autant hâte de manger et boire la connaissance de Christ, que de manger et boire notre premier repas de la journée ?
Le dernier commandement que Dieu a donné à l'homme ? C'est....Viens et suis-moi ! (Luc 18; 22) Nous lisons dans Apocalypse: ¨ l'Esprit (Dieu) et l'épouse (Église) disent: ¨ Viens. Que celui qui entend dise: Viens. Que celui qui a soif vienne, que celui qui veut, prenne de l'eau de la vie, gratuitement." (Apo 22.17).
L'Église depuis des dizaines de siècles a prêché un Jésus chair et os, qui en bon ami s`attable à un repas et discute avec des gens, avec les disciples ou d'autres personnes, tout en apportant un changement dans leurs cœurs. Pensons juste au déjeuner qu'Il a pris avec Pierre après sa résurrection ou encore à sa discussion avec Zachée, alors qu'il soupait chez lui. Quels moments merveilleux passés à la table avec le Jésus parmi nous ! ¨ Tu as cru Thomas parce que tu m`as vu. Heureux ceux qui n`ont pas vu, et qui ont cru ! (Jn.20; 29) alors qu`une invitation à la table écrite du Nouveau Testament est une invitation aux Paroles à salut dans un partage et d'échange avec le Christ: Lui que vous aimez sans l`avoir vu, et en qui vous croyez sans le voir encore (1 Pierre 1; 8)
Jésus nous invite à Sa table afin que nous développions une communion avec lui dans une joie ineffable et glorieuse, sans avoir besoin d`un Noël quelconque, ou Sacrécoeur, ou les 14 représentations (stations) le menant à la croix, ou tout autre chose qui frappe l`oeil et est matière d`un monde pécheur et perdu: Quelle maison me bâtirez- vous, ou quel sera le lieu de mon repos ? N`est-ce pas ma main qui a fait toutes choses ? (Actes 7; 49-50) et encore et encore ! !
À suivre
Ta Parole est une Lampe à mes pieds, et un Sentier sur mon chemin
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Noël ne fait pas partie des fêtes suivies par les premiers chrétiens, ni avec celles du temps des Israélites (Lévitique 23) et ne figure pas dans les listes publiées par Irénée de Lyon et Tertullien car Christ est comme prémices de la moisson céleste
(Lév.23; 10) et serait né l`automne.
À remarquer que les fêtes de l`Éternel aux Israélites, sont des fêtes de
foi, en un salut éternel à venir: Foi en un repos éternel (Lév.23; 3) Foi dans
la Pâque (vs.5) agneau immolé pour le péché) Foi en un sacrificateur parfait
à venir (vs.10) prémices à salut (vs.11) Foi à des prémices futurs (vs.17)
144,ooo de chaque tribu (Apc.7; 4) et lorsque la noce viendra, l`étranger et
le pauvre, méchant ou bon, seront contraint de se repentir (Luc 14; 23) ce
sera des sacrifices consumés par le feu (Lév.23; 36) qui éprouvera l`oeuvre
de chacun (1 Cor.3; 13).
Ce ne sera qu`au 4* siècle, que la date du 25 décembre sera choisie comme date pour la fête de Noël naissance miraculeuse de Jésus qui est un fait (la Parole a été faite chair (Jean1; 14) mais chair semblable à la nôtre, chair du péché (Rom.8; 3) mais sans aucun péché. Christ dans sa chair n`a jamais voulu être honoré, ni adoré (Luc 4; 8) Les adorateurs que le Père demande, adorent en esprit et en vérité (Jean 4; 23) aucune représentation des choses qui sont en haut dans les cieux (Exode 20; 4).
Mais l`Église, inspirée par des esprits contradictoires à la Parole, croira bon d`établir Noël le 25 Décembre pendant le 4* siècle, principalement dans le but de substituer la fête du solstice païen, qui étaient d'usage à l'époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d'hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes lieu à la période du 25 décembre. le document le plus ancien mentionnant cette date du 25 décembre est le Chronographe de 354 (faisant référence à des événements remontant au moins à 336).
Les Églises célèbrent Noël le 25 décembre, qui est une date différente selon le calendrier qu'elles utilisent. Les Églises orthodoxes célèbrent cette fête le 25 décembre de leur ancien calendrier liturgique, le calendrier julien (ce qui correspond au 7 janvier grégorien et civil). L'Église catholique romaine et les Églises protestantes célèbrent Noël le 25 décembre du calendrier grégorien et civil. Le jour de la saint Emmanuel a été fixé tardivement dans l'empire romain d'Occident, vers le milieu du 4* siècle.
Le 25 décembre marquait depuis Aurélien (vers 270) l'anniversaire du Sol Invictus. Pour des raisons symboliques, et dans un souci de christianiser les anciennes fêtes païennes, cette date fut progressivement étendue à tout l'Occident latin. Les Églises orthodoxes, qui ont conservé le calendrier julien, célèbrent Noël le 25 décembre de ce calendrier, ce qui correspond au 7 janvier du calendrier grégorien et au solstice d'hiver du calendrier égyptien. Seule l'Église apostolique arménienne a conservé la date précise du 6 janvier comme jour de la fête de Noël.C’est à partir du 3* siècle que certaines communautés chrétiennes cherchent à situer dans l’année la date de naissance de Jésus. Avant de la placer à la date d'une célébration solaire liée au solstice d'hiver, de nombreuses dates furent proposées : 6 janvier (correspondant à l'Épiphanie, date choisie par les Basilidiens vers la fin du 2* siècle et reprise par les communautés chrétiennes d’Orient), 28 mars (mentionné dans De Pascha Computus, un calendrier des fêtes datant de 243), 18 novembre (date proposée par Clément d'Alexandrie)…
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Bien avant l'apparition du christianisme, l'époque du solstice d'hiver était déjà une période charnière de l'année, qui regroupait de nombreuses croyances païennes relatives à la fertilité, la maternité, la procréation et l'astronomie. Elle donnait donc lieu à de nombreuses manifestations. Ces traditions antiques ont de nombreux points de similitude avec la fête chrétienne.
Aucun texte dans la Bible ne précise quel jour dans l'année est né Jésus-Christ, et pourquoi les apôtres, que ce soit Pierre ou Paul, ou tout autre, depuis la pentecôte, c`est-à-dire depuis l`ère de l`Église, ne font aucunement allusion à une date divine de la naissance du Christ ? Mais prêcheront la repentance ou Christ crucifié (1 Cor.2; 2) tout comme le passage concernant l`Éthiopien dans le Livre des Actes 8; 26-39, dont la lecture qui le frappe, n`est pas du tout quand Christ est né, mais pourquoi il était né ! Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qu`est-ce qui était annoncé ? La date, le mois, l`an ? NON. Car quand bien même je saurais exactement ces choses, si je ne sais pas ni ne comprends pourquoi que la Parole de Dieu s`est faite chair (Jean 1; 14) et que cette chair n`avait ni beauté, ni éclat pour attirer les regards: en d`autres mots que ce n`est pas à la chair que je dois m`arrêter, mais bien au but du pourquoi ¨ Parole faite chair ¨ parole méprisée et abandonnée des hommes, parole-homme de douleur et habitué à la souffrance ! Depuis quand la souffrance ? Depuis sa naissance ? NON, mais depuis le doute et la séduction d`Adam et Ève (Gen.3; 1) qui tout comme chacun de leur descendant ne feront aucun cas de la Parole de Dieu (Ésaïe 53; 3) et que lorsqu`incarnée, elle a été blessée pour nos péchés, dont tout et chacun va encore errant comme des brebis qui suivent leur propre voie (És.53; 6).
Voilà ce qui fait réfléchir l`Éthiopien qui lit la vie de cet homme (et non sa naissance, même aussi miraculeuse qu`elle est pu être) car la foi n`est pas dans la naissance seulement (ce qui en est le lait) mais bien dans l`homme fait (1 Cor.14; 20)
De qui le prophète parle-t-il ainsi ? Du miracle de la naissance du Fils de Dieu, ou de la bonne nouvelle du sacrifice de la croix par Jésus ? (Act.8; 35).
Logiquement, tout homme vivant dans une chair semblable à la nôtre sur notre planète, doit être né dans une chair humaine quelconque, mais quand cette personne vit et agit avec des puissances célestes comme celle de marcher sur les eaux, ou ressusciter des morts, etc. etc. il est normal que nous sachions d`où elle vient, et comment elle est venue parmi nous, mais là n`est que le début de cet être dont les oeuvres de sa vie nous apprendrons le pourquoi de son existence, qui il est, et pourquoi il est né: Car je n`ai pas eu la pensée de savoir (de savoir) parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié (1 Cor.2; 2).
Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et dirent, que ferons-nous ?
Repentez-vous, et soyez baptisé au nom de Jésus-Christ (Act.2; 38) Qu`est-ce qui empêche que je sois baptisé ?
Si tu crois de tout ton coeur, cela est possible; Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu (Act,8; 37)......Alors Philippe et l`Éthiopien descendirent tous 2 dans l`eau, et Philippe baptisa l`Éthiopien (vs.38).
À suivre
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