Le phare de la Vérité

Message évangélique

posté le 01-06-2014 à 19:41:25

Les Choses cachées de Dieu ? (suite 11)

Rome, sans aucune hésitation, a cru bon de changer la gloire du Dieu incorruptible par un retranchement des Écrits dans le commandement reçu par (Exode 20; 4-5) et prêcher son Évangile avec des représentations humaines (Rom.1; 23) dont les premiers visages seront ceux de Jésus et de sa Mère, puisque la place de Marie, Mère du Christ, sont indissociables de l'histoire du christianisme depuis son origine, dira-t-Elle. Appuyés sur les évangiles et sur les premiers conciles, les Évêques reconnaissent à la Vierge Marie le titre de Mère de Dieu. Cela parce qu'elle est la mère de Jésus et que Jésus est Dieu. Pour la tradition catholique, elle est, non seulement figure et modèle des croyants, de celles et ceux qui font confiance à la parole de l`Église, mais elle est aussi pleinement associée à la gloire de son fils, Jésus le ressuscité.                       
 
Préservée du péché, élevée dans la lumière, elle intercède pour nous auprès de Dieu tout en étant proche de notre humanité: Visage de tendresse, d'amour et de miséricorde, elle ne cesse de nous conduire vers Jésus.....qui pourtant aux noces de Cana, a déclaré: Femme, qu`y a-t-il entre moi et toi ? (Jn.2; 4) c`est nous qui traduisons.                              
 
Matthieu 12; 48: qui est ma mère, et qui sont mes frères ? pour finalement, la voyant au pied de la croix, dira cette fois: Femme, voilà ton fils, lui désignant Jean, disciple qu`il aimait (Jn.19; 26) et que nous retrouvons avec les 120 environ dans la Chambre Haute (Actes 1; 13) et les quelques frères et soeurs de sang du Christ (Mtt.13; 55-56: Actes 1;14).
 
Pour Rome, la Sainte Vierge Marie est Mère de Dieu, puisqu’'elle est vraiment mère d’'un Fils qui est vraiment Dieu. Dans sa maternité même, elle demeure toujours Vierge et infiniment pure, alors pourquoi Joseph son époux, ne la connut point (acte du mariage) jusqu`à ce qu`elle eût enfanté Jésus ? (Mtt.1; 25) Elle est Immaculée dans sa conception, n’'ayant jamais contracté le péché originel, pourquoi alors dit-elle avoir besoin du Sauveur ? (Luc 1; 46-47).
 
Rome enseignera qu`elle est montée au ciel avec son corps et son âme glorifiés. Comment se fait-il que Jean ne la voit pas dans le ciel avec les 24 vieillards ? (Apc.4; 4) alors que Rome dit qu`elle règne maternellement et nous accorde les grâces de Dieu que nous lui demandons filialement. Est-ce que Rome n`en aurait pas fait plutôt une consolation pour attirer les gens d`Asie (Actes 19; 23-40).
La sainte Église catholique dira Rome, est la société fondée par Jésus-Christ pour perpétuer son œœuvre jusqu'’à la fin des temps. Elle a hérité des pouvoirs et des privilèges de son fondateur. En elle, et en elle seule, les hommes peuvent trouver les moyens de salut: la vraie foi et les sacrements qui donnent la grâce.
Qu`est-ce qu`un sacrement ? Il est un signe ou rite extérieur, qui se compose de matière et de forme; par exemple: Je te baptise, l`eau sera la forme de ce sacrement. Il y a 7 sacrements selon Rome: Le Baptême, la Confirmation, l`Eucharistie, la Pénitence, l`Extrême-Onction, l`Ordre et le Mariage.
 
Le sacrement deviendra un rite cultuel revêtant une dimension sacrée. Les croyants penseront qu'il est le produit et effet, dont la source est Dieu, et qu`il donne la grâce. Ils y trouveront le symbole et le moyen d'une alliance entre Dieu et les hommes. On définit théologiquement un sacrement comme étant un signe destiné à donner ou à augmenter la grâce sanctifiante des croyants.
 
C’est Tertullien (150-220) qui a donné au terme de sacramentum son sens chrétien. Il l`applique non seulement à de nombreux signes prophétiques de l’Écriture (bois, nom de Jésus…), mais également à l’eucharistie ( sacramentum eucharistiae ou sacramentum panis et vini), et surtout au baptême. Celui-ci constitue en effet pour lui le paradigme de la sacramentalité : n’est-il pas le sacrement-serment de la foi jurée (sacramentum fidei) par lequel le chrétien se voue à la sacratio (sacré) en cas d’infidélité ?
 
C'est vers 193 (à 43 ans environ) qu'il se convertit au christianisme. Il semble qu'il soit séduit par l'esprit de sainteté qu'il rencontre chez les chrétiens, par leur humilité, leur abnégation face aux persécutions et à la hauteur de la doctrine évangélique. Sa conversion est soudaine et décisive. Il dira plus tard : « On ne naît pas chrétien, on le devient » (Apol, XVIII). Adversaire du paganisme et moraliste intransigeant (par des traités sur la femme, le mariage, la chasteté ou le jeûne), il est considéré comme le premier auteur chrétien à énoncer la foi en latin. En effet, jusqu'à Tertullien, le christianisme s'est pensé et formulé en grec, car il s'est d'abord développé dans la partie orientale de l'Empire, celle de la Diaspora hellénistique, où l'on parlait le grec. Il s'est d'abord présenté comme un courant philosophique (secta, haeresis). Tertullien épousera une chrétienne.
 
Presque imperceptiblement, les coutumes païennes s'introduisirent dans l'Église ; la conversion nominale de l'empereur au début du 4* siècle causa de grandes réjouissances : le monde, couvert d'un manteau de justice, entra dans le christianisme de Rome. Alors, l'œuvre de la corruption fit de rapides progrès, et en fait encore de nos jours. Le paganisme paraissait vaincu, tandis qu'il était réellement vainqueur : son esprit dirigeait à présent l'Église romaine. Des populations entières qui, malgré leur abjuration, étaient païennes par leurs mœurs, goûts, préjugés et ignorance, passèrent sous les étendards chrétiens avec leur bagage de croyances insensées et de pratiques superstitieuses. Le christianisme de Rome adopta et intégra une grande partie du système de l'ancien culte impérial ainsi que ses fêtes qui prirent toutes des couleurs plus ou moins chrétiennes.
 
Rome, pour parer au paganisme, se verra à déclarer saints et saintes, ceux et celles qui, comme le « Bon Larron » à qui le Christ a dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi au Paradis », sont parvenus à la béatitude éternelle, et contemplent Dieu au Ciel, tout en intercèdant pour les êtres humains ici-bas. Parmi les défunts, étaient réputés saints et vénérés comme tels les martyrs (mot grec signifiant; témoin) qui par leur baptême sanglant effaçait tout péché de leur vie, tout comme ce fut le cas pour les apôtres choisis par le Christ (foi romaine)
Qui devons-nous croire ? La Bible qui déclare que: Le sang de Christ nous purifie de tous péchés (1 Jn.1; 7) ou selon Rome c`est le martyre en la foi au Christ qui efface tous les péchés.
 
Éphésiens 2 vs.5 dit que: C`est par grâce que vous êtes sauvés, que ce n`est point par les oeuvres (vs.9)  POURQUOI ?  afin que personne ne se glorifie, puisque nous sommes là pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d`avance, afin que nous les pratiquions (vs.10) et quelles sont les oeuvres préparées d`avance ?  La sanctification, (l`abandon du péché)sans laquelle personne ne verra le Seigneur (Hébreux 12; 14) car la sanctification, c`est faire la Volonté du Père qui est dans les cieux (Mtt.7; 21).
 
Bien vite, les responsables de cette société chrétienne romaine découvriront, que pour la faire fonctionner, il faut des deniers: denier du culte premièrement, denier pour propager la foi, denier de St-Pierre, denier des messes, denier par la vante de lampions, denier par la vente des cierges, des images, médailles, etc. etc. denier des Fêtes à la Très Ste. Vierge, denier à la Fête de la naissance de son Fils, denier des Pâques, denier de la Fête-Dieu, denier pour bâtir les Églises paroissiales, couvents et autres maisons pour les religieuses et les religieux: Hommes ou femmes ayant prononcés les voeux de pauvreté, de chasteté, et d`obéissance à un Supérieur (e) et denier pour bâtir l`immense basilique St-Pierre, qui deviendra un État, ayant en son centre le Vatican (maison Papale romaine).
 
Autrefois, le terme Vatican indiquait la région marécageuse sur la rive droite du Tibre, entre le Pont Milvio et l’actuel Pont Sisto. Durant la période des rois et tout au long de l’époque républicaine, ce territoire s’appelait Ager Vaticanus et s’étendait au nord jusqu’à l’embouchure du Cremera, au sud, jusqu’au Janicule.
Le toponyme Vaticanum est attesté avec certitude à l’époque impériale, à partir du 2* siècle apr. J.-C., il comprenait une région correspondant plus ou moins à l’actuel État de la Cité du Vatican. À l’époque romaine, cette région, située en dehors de la ville de Rome, fut bonifiée et occupée par des villas, par les jardins d’Agrippine – mère de l’empereur Caligula (37-41 apr.J.C) – et par de vastes nécropoles bâties le long des artères principales. Dans les jardins de sa mère, Caligula construisit un petit cirque pour les entraînements d’auriges (Gaianum), que Néron (54-68 apr.J.C) modifia par la suite ; la tradition romaine veut que Pierre ait été martyrisé près de ce cirque, lors de la grande persécution des chrétiens lancée par Néron en 64 apr.J.C.
 
Dans les derniers temps la connaissance augmentera (Dan.12; 4) maintenant il y a des révélations (Actes 17; 11) 
 
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posté le 24-05-2014 à 19:43:55

Les Choses cachées de Dieu ? (suite 10)

Pour Rome, l'énoncé du dogme de la Trinité se présente comme la conséquence de ce qui est dit du mystère de Dieu dans (Col.2; 2-3) et sera reconnu comme un mystère caché de Dieu, mais révélé au christianisme romain, et deviendra le dogme du Dieu unique en trois personnes: le Père, le Fils et le Saint-Esprit, égaux, et participant d'une même essence (homoousia consubstantialité) et pourtant fondamentalement distincts.

Dans l`évangile de Matthieu, vers 450, Rome ajoutera le verset 19 au dernier chapitre,
Selon Rome, dans l'Ancien Testament, Dieu a révélé son existence et son unicité ainsi que la venue du Verbe incarné; et dans le Nouveau Testament sont affirmés la divinité de Jésus-Christ et le caractère personnel de l'Esprit-Saint (Jean 17; 20) en plus du Pêre, donc: Trois (Trinité).
Montanus (vers 173) affirma être l'organe en extase du paraclet et fonda le montanisme. Cela témoigne de la conception de l'Esprit Saint des premiers chrétiens. La perception de l'Esprit-Saint s'est progressivement développée dans le christianisme primitif et s'est officialisée surtout après le 4* Siècle. 

Elle a été un des points doctrinaux qui ont provoqué le schisme entre l'Église d'Orient et l'Église d'Occident. La conception de l'Esprit Saint émanant du Divin et agissant par un organe angélique ou humain se lit déjà dans le psaume (Ps.51; 12-14) : "Crée en moi un cœur pur Ô Dieu, Et mets au-dedans de moi un esprit nouveau, un esprit ferme. Ne me rejette pas de devant Ta Face et ton esprit saint, ô ne me l'enlève plus. Selon Montanus, le Paraclet serait différent du Saint-Esprit qui serait descendu sur les apôtres.

Ce que Rome ne comprend pas, c`est que le Paraclet ou St-Esprit, c`est Dieu Esprit (Jean 4; 24)
Le Père est « celui qui est éternel » (Dieu est Esprit, Jn.4; 24) Eloah/Elohim (אלהים) ou IHWH (souvent traduit en français par Eternel), ainsi que l'ont compris la Septante et la Bible de Jérusalem dans leurs traductions du passage du Livre de l'Exode où est révélé le Nom divin. Le Nouveau Testament souligne la paternité de Dieu, déjà reconnue dans l'Ancien Testament.

Mais par le Nouveau Testament, l`Église Évangélique voit le Fils, le Verbe ou la Parole de Dieu (Jésus-Christ), identifié comme celui qui était avec Dieu (Jn.1; 1) il est celui (Parole) par qui le Père a créé le ciel et la terre ainsi que toute chose, comparez (Col.1; 15-16) et (Héb.1; 10) alors que l'on voit dans Hébreux 1; 8, le Père (Dieu Esprit) parler à son Fils, Parole faite chair (tu es ma Parole) que j`incarnerai en toi (Jn.1; 14). En lui habitera corporellement toute la plénitude de la divinité (Col. 2; 9). En outre il est aussi l'alpha et oméga (Apc.22; 13) qui signifie « le premier et le dernier » (expression que l'on trouve déjà dans Ésaïe 48;12). Dans le livre de Jean selon la Tobie, Jésus se déclare lui-même « Je Suis » (Jn. 8; 24, 28, et 58) et Ex.3; 14 confirme le ¨ Je suis ¨ à Abraham (Jn. 8; 56) car un enfant nous est né, un fils (Sauveur) nous est donné, et la domination (autorité) reposera sur son épaule; on l`appelera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix (Ésaïe 9; 5)
Le Saint-Esprit, en grec Πνεῦμα / Pneuma, est aussi appelé Παράκλητος / Paraclet, d'un mot qui signifie « consolateur, enseignant » (Jn.14; 26) qui ne se distingue pas du Père et du Fils (Jn.14; 14, et Jn.15; 26) puisqu`il ne font qu`un comme Esprit (Jn.17; 21) qui rappelle tout ce que le Christ doit enseigné (Jn.8; 28) Dans la doctrine Évangélique, il est l'Esprit de Dieu Père et de la Parole Fils, Jésus (Jn.1; 1) ou le Souffle du Dieu de l'Ancien Testament, hébreu רוח אלהים, Rûah, Celui qui a inspiré les prophètes, à donné le souffle de vie à l`homme (Gen.2; 7) s'est manifesté dans le buisson ardent (Exode 3; 2-6) etc. et aussi dans le même feu à la Pentecôte (Act.2; 3) et continue d'assister l'Église (Jn. 16; 8-11) tous les baptisés (es) au nom de Jésus-Christ (Act.2; 38) qui sans la sanctification (repentance) ne pourront voir le Seigneur (Héb.12; 14).

Mais Rome, malgré l`avertissement de Paul à l`Église (Rom.1; 23) rendra l`Esprit (Vie qu`est l`Être Divin) en le matérialisant par des symboles : la colombe, la tempête, le feu, etc. etc. et fera du Dieu unique une 3* personne (la sainte Trinité). Le Dieu unique, Créateur du ciel et de la terre, bonté infinie et éternelle, deviendra pour elle un seul Dieu en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et ces trois personnes seront infiniment égales, infiniment distinctes, infiniment parfaites, et elles ne feront qu’'un seul Dieu. Chacune des personnes est Dieu tout entier, et pourtant il n’y a qu’'un seul Dieu : les trois personnes sont consubstantielles (même substance). C’'est là un grand mystère que nous ne pouvons comprendre, mais que nous devons croire car Dieu lui-même l’'a révélé par son Fils Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui l’'enseigne maintenant par la sainte Église catholique romaine, depuis l'’Incarnation de la seconde Personne de la sainte Trinité, le Fils éternel de Dieu, s’'est fait homme. Il a pris une nature humaine (un corps et une âme) alors que 1 Thessaloniciens 5; 23 dit: que pour qu`un être humain soit entier (c`est nous qui traduisons) il doit comprendre l`esprit, l`âme (vie) et le corps.

C`est cet être entier (premier-né, Rom.8; 29) qui a été incarné dans le sein d`une vierge Juive, Marie, lorsquìl est venu sur la terre pour nous sauver du péché par sa mort douloureuse sur la Croix et sa résurrection. Il a pris le nom de Jésus-Christ. Il est vrai Dieu et vrai homme, ayant 2 natures parfaites dans sa personne unique et divine (et la parole ¨ divine ¨ a été faite chair (humaine, Jn.1; 14) avec un esprit vivifiant (divin, 1 Cor. 15; 45).

Alors, selon Jean 17; 21, qu`est-ce qui fait que le Père et Jésus ne font qu`un ? Pourquoi Jésus est-il seulement ¨semblable¨ à nous ? Romains 8; 9-11 (1 Cor.15; 49) parce qu`il ne vivait pas selon la chair (le péché) et savait dans son esprit (Divin)que dès l`âge de 12 ans, il devait s`occuper des affaires de son Père (Luc 2; 42-49).....J`ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous (Luc 22; 15).
Selon Rome, l`Église est sainte et universelle, puisqu`elle est la société fondée par Jésus-Christ pour perpétuer son œœuvre jusqu'’à la fin des temps. Elle a hérité des pouvoirs et des privilèges de son fondateur (Mtt.16; 18) En elle, et en elle seule, les hommes peuvent trouver les moyens de salut : la vraie foi et les sacrements qui donnent la grâce (aide au salut).

Pourquoi cette foi ? Le Potier (Maître et Seigneur) peut faire avec la même masse d`argile (humanité) un vase d`honneur et un vase d`un usage vil (Rom.9; 21) Dieu sait ce qu`il fait, et ce qu`il fait, il le fait bien: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Pour ce faire il faut le support des nations que Rome reçoit (Apc.17; 10) pour exercer l`autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation, et faire que tous les habitants de la terre l`adore (Apc.13; 7-8) pour sa propre foi dans les 4 Évangiles (Jésus parmi nous) d`où elle fera connaître un Dieu humain chez les nations (naissance, puissance, crucifixion, résurrection, et retour au ciel) mais le Dieu Esprit (Jn.4; 24) ce Dieu inconnu (Act.17; 23 en attirera quelques-uns (le petit troupeau (Luc 12; 32) à la sanctification pour les donner comme Épouse à Christ (2 Cor. 11; 2) prémices de ses créatures (Jacques 1; 18) dont Christ se fera un devoir continu de veiller sur eux (Jn.17; 9) en attendant de venir les chercher dans une résurrection (1 Thess.4; 16-17) puisque personne encore (excepté Christ, Actes 1; 10) n`est monté au ciel (Jn.2; 13, Actes 2; 34) car Dieu est un Dieu d`ordre (Rom.16; 26) manifesté maintenant par les prophètes (Apc.4; 4) et connu par les Écrits des apôtres, indiquant le Chemin à suivre (Jn.14; 6) qu`a tracé son Fils (Luc 9; 36) pour son Église (Actes 2; 38-42) et non une congrégation qui doit tracer le chemin aux frères et soeurs du Seigneur (Mtt.7; 21).

Dans les derniers temps la connaissance augmentera (Dan.12; 4) maintenant il y a des révélations (Actes 17; 11) 

À suivre

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posté le 18-05-2014 à 19:16:57

Les Choses cachées de Dieu ? (suite 9)

Les choses cachées de Dieu 
 
Dieu sait ce qu`il fait, et ce qu`il fait, il le fait bien; n`a-t-il pas dit à Jean sur l`île de Patmos par son ange: Je connais ta tribulation et ta pauvreté (petit troupeau Luc 12; 32: bien que tu sois riche) Apc.2; 9)......riche monétairement ? NON, mais riche en obéissance et connaissance de la Parole du Chef ¨ Christ ¨ (1 Cor.11; 3) qui ne veut pas une Église puissante, mais des brebis soumises aux Écrits formant son Église (Rom.1; 16) 1 Cor.1; 2 (Galates 1; 2) Éphé.1; 1 (Philippiens 1; 1) Colossiens, etc. etc.
 
"Lorsque l'évêque Denys devint chef de l'Eglise de Rome, il connut une période de paix. La persécution venait de s'interrompre et cessait de faire rage vis-à-vis la communauté chrétienne qui ne pouvait mener une vie à peu près normale. L'empereur avait été fait prisonnier par les Perses. L'Eglise se vit restituer ses lieux (bâtiments) de culte et elle connut ce qu'on appelle "la petite paix de l'Eglise". À Alexandrie, s'était développée une hérésie concernant le mystère trinitaire et les adversaires firent appel à l'évêque de Rome comme autorité doctrinale. L`Évêque Denys réunit un concile d'évêques et adressa une longue lettre à l'évêque d'Alexandrie pour fixer la doctrine : nous en avons un long fragment dans les écrits de saint Athanase, ce qui constitue le texte le plus important sur le dogme de la Trinité dans la période anténicéenne." 
D'origine grec (né en Calabre ?), Denys, anachorète puis prêtre, est élu évêque de Rome le 22-07-259.
 
Il joint (ajoute) à un savoir étendu de véritables vertus évangéliques.
Il rachète les chrétiens envoyés en esclavage après la prise de Césarée en Cappadoce.
 
Il s'efforce de réorganiser l'Église localement très éprouvée par la persécution de Valérien (paroisses, sièges épiscopaux suburbicaires aux environs de Rome) et renforce le rôle des prêtres comme sacrificateurs, et il fait reconstruire plusieurs églises (bâtiments détruits) pendant la persécution.
 
Il renoue le contact avec les Églises d'Afrique et d'Asie. 
Il reçoit de l'évêque Denys d'Alexandrie, une lettre sur la question du baptême des hérétiques et sur les relations entre le Père et le Fils dans la Trinité (des fidèles alexandrins accusent leur évêque de nier la consubstantialité du Fils avec le Père). Après avoir tenu concile, l'évêque Denys de Rome répond à l'Eglise d'Alexandrie en précisant la position romaine sur la Trinité et en demandant à l'évêque Denys d`Alexandrie, de clarifier sa position, ce qu'il fera. 
 
Denys de Rome, assure que le nombre des Anges est supérieur à toutes les créatures visibles, c'est-à-dire "aux grains de sable du rivage de la mer, aux brins d'herbe des prairies, aux étoiles qui peuplent les immensités des espaces". 
Il meurt le 26-12-268. Il est inhumé dans la crypte des Papes de la catacombe de Saint-Calixte.
 
Selon le Liber Pontificalis, Saint Denys est mort martyr (par contre, le Calendrier civil romain de 254 laisse entendre qu'il est décédé de mort naturelle). 
Il ordonna 12 prêtres, 6 diacres et 7 évêques. (Saint Denys, présumé martyr) est fêté le 26 décembre. 
 
Les saints au sens strict de Rome, sont ceux qui, comme le « Bon Larron » à qui le Christ dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi au Paradis », sont parvenus à la béatitude éternelle, contemplent Dieu au Ciel et intercèdent pour les êtres humains ici-bas.
 
Parmi les défunts, étaient réputés saints et vénérés comme tels les martyrs (mot grec signifiant « témoin ») (leur « baptême sanglant » effaçait tout péché) tout comme ce le fut pour les apôtres (choisis par le Christ). 
 
La Rome civil, deviendra de plus en plus la Rome religieuse, sous Flavius Valerius Aurelius Constantinus, né à Naissus en Mésie (aujourd'hui Niš en Serbie) le 27 février 272, et proclamé 34* empereur romain sous le nom Constantin I* en 306 par les légions de Bretagne, il mourra le 22 mai 337 après 31 ans de règne, devenu une figure prépondérante du 4* siècle.
 
En rupture avec le règne de Dioclétien, il est le premier empereur romain à adopter le christianisme comme religion d'État ; non seulement il marque la fin d'une ère de persécutions des chrétiens dans le monde, mais il aide l'Église à prendre son essor, en établissant la liberté de culte par le biais de l'édit de Milan (313), et en plaçant le Dieu chrétien au-dessus de son rôle d'empereur à l'instar du Sol Invictus.  Un de ses successeurs, Constantin I* (272-337) au début de son règne sera un adepte du Soleil invaincu, comme en témoignent ses émissions monétaires.
 
L'empereur Aurélien (270-275) lui assure une place officielle à Rome en proclamant que le Soleil invaincu est le patron principal de l’Empire romain et en faisant du 25 décembre (solstice d'hiver tombant le 25 décembre, puisque l'équinoxe  du printemps est fixé au 25 mars par la modification du concile de Nicée) une fête officielle (dies natalis solis inuicti).Un temple est dédié au Soleil au Champ de Mars, et orné du butin rapporté de Palmyre ; ce temple est servi par un nouveau collège de prêtres, les pontifices Solis.
 
Il sera considéré comme saint par l'Église orthodoxe, de même que sa mère Hélène. Par la promotion du christianisme, il favorise l'extinction du culte de Mithra qui est un culte à mystères apparu probablement pendant le 2* siècle av.J.-C. dans la partie orientale de la Méditerranée. Durant les siècles suivants il se propage dans tout l'Empire romain et atteint son apogée durant le 3* siècle. Ce culte est particulièrement bien reçu et implanté chez les soldats romains. Au 4* siècle, il est supplanté (dépossédé de ses mystères) par le christianisme qui le déclare illégal en 391, mais Christianisé par l`Évêque de Rome au cours du siècle suivant concernant les principaux mystères de la foi catholique.
 
Le titre de  (pape)  n'est réellement apparu qu'à partir du concile de Nicée en 325 sous l`empereur Constantin, qui venait de réunir sous son unique pouvoir l’ensemble du monde romain, il convoqua à Nicée, en 325 un concile général pour désigné exclusivement l'évêque de Rome comme chef de l`Église, et fixe les termes mêmes du dogme de la Trinité afin de définir la divinité du Fils (le Christ) engendré par le Père, vrai Dieu né du vrai Dieu, dont il lui est consubstantiel (inséparable). L’emploi de ce terme [consubstantiel], ne figure pas dans les Saintes Écritures et ne fut accepté que sous la contrainte par de nombreux évêques orientaux. Ce ne sera qu'à partir de Grégoire 7, au onzième siècle, que selon la tradition apostolique, la succession pontificale légitime remontera à l'apôtre Pierre.
 
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posté le 11-05-2014 à 21:21:09

Les Choses cachées de Dieu (suite 8)

À ce moment même, Jésus tressaillit de joie par le St-Esprit (de Dieu) et il dit: Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses (Luc 10; 21) les prémices sauvés (Jacques 1: 18) aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les a révélées aux enfants (nés de nouveau, Jn.3; 5) Oui, Père, je te loue de ce que tu l`as voulu ainsi (Luc 10; 21).
 
Pourquoi ?  Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche ¨ d`Esprit ¨) et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs (tribu de Juda, Héb.7; 14) et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue (Église) de satan (de la Bête, Apc. 17; 8)  Ne crains pas ce que tu vas souffrir (inquisition) Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés. Celui qui vaincra (Apc.2; 9-11) n`aura pas à souffrir la 2* mort (Apc.20; 6).
 
Moi (Christ) je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu`un te frappe sur la joue droite, présente-lui l`autre (Mtt. 5; 39) il veut prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau (vs.40) il te force à faire un mille, fais-en deux, avec lui (vs.41) donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi (vs.42) aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et persécutent (vs. 44) soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait (vs.48).
 
O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu !  Que tes jugements (façon d`agir) sont insondables, et tes voies incompréhensibles (Rom.11; 33) Car, c`est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses (vs.36). 
 
À la fin du 3* siècle, l’Empire romain est séparé en deux par Dioclétien et il est définitivement divisé à la mort de Théodose I* en 395. L’Empire romain d'Occident disparaît en 476, mais l’Empire romain d’Orient subsiste presque mille ans de plus, jusqu'à la prise de Constantinople par les Ottomans en 1453.
 
Sous la pression des invasions barbares, l'Empire romain connaît une grave crise tout au long du 3* siècle. Des révoltes et des guerres civiles fragilisent aussi le pouvoir c'est-à-dire la position de l'empereur. Ces troubles favorisent la remise au goût du jour des ¨ traditions ¨ romaines qui prévalaient dans un contexte de patriotisme romain. Le principe divin du pouvoir est alors considéré comme vital pour l'Empire et toute remise en question de ce principe est perçue comme un acte de trahison. Ainsi, les chrétiens et les Juifs refusant de sacrifier (payer) à l'empereur, sont vus comme menaçant les fondements de l'État.
 
C'est pendant cette persécution que (saint) Victor, militaire romain, officier dans la légion thébaine, subira le martyre à Marseille, le 21 juillet 304 selon certaines sources, pour avoir refusé d'abjurer sa foi chrétienne romaine, ou que Georges  de Lydda, devenu (saint) Georges, fut décapité.
La fin de la première tétrarchie (305) entraîne un flou dans le gouvernement romain. De nombreux hommes se succèdent, surtout dans la partie occidentale, entraînant une diminution des persécutions. Alors que dans la partie orientale, relativement peu touchée par ces luttes de pouvoir, les massacres s'intensifient.
 
Or, plus on les massacre, plus de nombreux païens romains les soutiennent. Aussi Galère signe un édit de tolérance le 30 avril 311. Non seulement l’édit de tolérance admet que les divers édits de persécution n’ont eu aucun effet sur la foi des chrétiens romains qui ont continué à croire en leur nouveau Dieu, au lieu des dieux de leurs ancêtres, mais, par ailleurs, Galère ordonne de prier pour les Romains et leur empire. Le christianisme est alors autorisé dans l’Empire romain.
 
Le christianisme primitif ne peut se réduire à une entreprise ni à une influence unique d`un Ancien (Surveillant) sur toutes les Assemblées. Chaque groupe est unitaire aux Écrits des apôtres (1 Cor.14; 26-40) par un même acte de foi et d`obéissance au Christ ressuscité. Selon certains écrits historiques, plusieurs grands courants se distinguent : les « pétriniens » se rattachent à la mission de Pierre l’ « Apôtre du Seigneur », s’exprimant en araméen et en grec, présents en Galilée puis à Antioche ; les « jacobiens » se rattachent à la mission de Jacques, le « frère du Seigneur », s’exprimant en araméen et originaire de Jérusalem ; les « pauliniens » se rattachent à la mission de Paul, s’exprimant en grec, originaires d’Antioche ; les « johanniques » s’expriment en grec et sans doute aussi en araméen, leur figure marquante est celle du « disciple bien aimé » et ils se développent en Samarie, puis en Asie mineure.
 
Quant à la première communauté de Jérusalem, certains historiens considèrent qu’elle fut d’abord sous l’influence de Pierre avant de passer sous celle de Jacques. Pour d’autres, il s’agit là d’une construction théologique et littéraire des Actes des Apôtres, et c’est Jacques qui en serait le fondateur.
 
La question reste ouverte. L`Église est donc une communauté locale Évangélique et une institution qui regroupe les chrétiens d'une même confession, c`est ce que nous découvrons lorsque nous étudions les voyages de Paul (Épitres) aux Assemblées (Églises)
 
Par extension à partir du 3* siècle, les pétriniens (Assemblée de Pierre) sont en faveur que l`Évêque de Rome accepte d`Alexandre Sévère le don de certains temples dont les bâtiments réuniront la communauté chrétienne le premier jour de la semaine (Dimanche); il faut donc bien distinguer église, lieu de culte, et Église, communauté ou institution, en employant une majuscule pour la seconde, y compris au pluriel.
 
Dans les derniers temps la connaissance augmentera (Dan.12; 4) maintenant il y a des révélations (Actes 17; 11) 
 
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posté le 04-05-2014 à 19:20:20

Les Choses cachées de Dieu ? (suite 7)


Léon le Grand, 1* pape, exercera sa juridiction sur trois zones. Tout d'abord la ville de Rome et l'Italie où il réprime la secte des manichéens et le pélagianisme. En 443, il rassemble à Rome de nombreux évêques et prêtres pour mettre en garde contre les sectes et inviter ceux qui le souhaitent à se rétracter de leurs erreurs. Beaucoup, semble-t-il, se rétractent ; quant aux récalcitrants ils sont sanctionnés. Léon 1*, oblige aussi les évêques à assister chaque année au synode de Rome. Il leur rappelle les conditions d'admission à l'épiscopat (dignité) sur la Gaule, l'Espagne et l'Afrique du Nord ensuite, où il encourage la lutte contre le priscillianisme, invitant l'évêque d'Astorga à réunir un concile contre cette hérésie. De même il exprime sa réprobation à Hilaire d'Arles qui s'arroge un pouvoir sur les évêques de Gaule. Enfin en Orient, où l’évêque de Thessalonique devient son vicaire, Léon exerce sa juridiction sur les régions balkaniques.
 
Les innombrables querelles sur la personne et la nature du Christ permettent à Léon I* d'en imposer aux théologiens byzantins. Dans le Tome à Flavien (446-449) lettre publiée le 13 juin 449 et adressée au patriarche de Constantinople, il exprime de façon magistrale la doctrine de l'unicité de la personne du Christ subsistant en deux natures distinctes et réfute ainsi clairement le monophysisme. Théodose 2 convoque un concile à Éphèse en 449 mais Eutychès empêche les représentants du pape de prendre la parole (le brigandage d'Éphèse). Le triomphe d'Eutychès est de courte durée car après la mort accidentelle de Théodose 2, la nouvelle impératrice Pulchérie et son mari Marcien, favorables à l'orthodoxie, convoquent un nouveau concile à Chalcédoine (451). Léon I* fait triompher son point de vue et à la lecture de son Tome à Flavien l'assemblée se lève s'écriant : « C'est Pierre qui parle par la bouche de Léon ». Si le triomphe doctrinal est complet il en va différemment sur le plan politique ou Léon I* accuse un échec avec le 28e canon du concile qui affirme l'égalité de droit des sièges de Rome et de Constantinople, les deux villes étant cités impériales. Pour Léon, c'est inacceptable car sa primauté estime-t-il, vient non pas du prestige de la ville mais de sa qualité de successeur de Pierre. Cette tension, source de bien des conflits dans l'avenir, reste pour l'instant contenue car Léon I* est conscient de l'importance pour la papauté d'être présente à Constantinople.
 
La foi permet à celui qui entend la lecture de l'Évangile d'être présent spirituellement à l'événement. Il est commémoré, mais l'action du Christ est rendue présente et agissante. La célébration des mystères cachés de Dieu dans le sein de la Vierge Marie et des Saints, est une source de joie, en même temps qu'un moyen pour affermir la foi des fidèles.
 
Chaque Sermon part de la contemplation du Mystère célébré, (Ste-Cène, messe) et aboutit à une parénèse (règle) et une exhortation morale. Le Christ est sacramentum et exemplum : il procure la grâce par la vertu de son action, et trace le chemin à suivre par son Église qui est guidée par le St-Esprit.
 
Alors, que penser des écrits qui disent, que ceux qui recevaient la parole avec beaucoup d`empressement, examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu`on leur disait était exact (Actes 17; 11). Ou encore: Celui qui me rejette (Christ) et qui ne recoit pas mes paroles a son juge, c`est elle qui le jugera au dernier jour (Jean 12; 48)  Si quelqu`un n`a pas l`Esprit de Christ, il ne lui appartient pas (Rom.8; 9) ou encore: N`ajoutez pas foi à tout esprit, mais éprouvez les esprits, pour savoir s`ils sont de Dieu (selon ses Écrits) 1 Jean 4; 1.
L'action politique de Léon I* n'est pas négligeable. L'épisode le plus célèbre est la rencontre avec Attila en 452 à Mantoue où le pape persuade le conquérant de faire demi-tour. Il est vrai que l'intervention de l'empereur Marcien sur les arrières des Huns n'est sans doute pas étrangère au retrait d'Attila, et certainement plus que le pouvoir de persuasion du pape. En 455 il lui est impossible d'empêcher le deuxième pillage de Rome par Genséric et ses Vandales. Tout au plus parvient-il à négocier que la ville ne soit pas incendiée et qu'il n'y ait ni meurtres, ni viols, ni violences.
 
Nous ne pouvons pas nous empêcher de voir ici, la lettre du Christ à Jean (Apc.2; 2-7) concernant l`abandon du premier Amour qu`inspire l`Esprit-St. dans Actes 2; 38-47).
 
Les débats des deux premiers conciles œcuméniques qui s’étaient déroulés au 4* siècle, le concile de Nicée (325) et celui de Constantinople (381) avaient porté principalement sur les questions trinitaires, c’est-à-dire sur la compatibilité de l'unicité de Dieu avec la nature divine du Christ et du Saint-Esprit. Ils avaient conduit à la définition d’un Dieu à la fois Un et Trine. 
 
Avec le concile d'Éphèse un tournant s’opère : le débat ne porte plus sur l’humanité ou la divinité du Christ car toutes deux sont désormais admises. Mais les débats se focalisent désormais sur la question du mode d’union de ces deux natures, humaine et divine, dans la personne du Christ.
 
L`Église (les dirigeants) veut un ensemble global des conceptions d'ordre théorique enseignées comme vraies, puisqu`elle a la responsabilité des connaissances bibliques, une grande partie de ses travaux relèveront de cette discipline consacrée à l'analyse de la connaissance des Écrits, c'est-à-dire, la détermination de ses conditions nécessaires et suffisantes. Il s'agit plus précisément d'établir quelles relations entretient la connaissance avec la croyance et la vérité, et quelles procédures de justification permettent de distinguer une simple croyance vraie (qui peut l'être par accident) d'une véritable connaissance, déjà malheureusement est laissé de côté que toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, et instruire dans la justice (2 Tim.3; 16).
 
En réalité ce qu`aurait dû faire l`Église (les dirigeants) Ell aurait dû copier et distribuer aux Assemblées les lettres directives écrites par les apôtres, et ne pas chercher à dominer ses semblables (frères et soeurs en la Foi) mais de prêcher la Parole et insister sur la sanctification qu`elle enseigne pour toute occasion, favorable ou non, reprendre, censurer, exorter, avec toute douceur en instruisant selon les Écrits (2 Tim.4; 2).
 
Dans les derniers temps la connaissance augmentera (Dan.12; 4) maintenant il y a des révélations (Actes 17; 11) 
 
À suivre
 
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