posté le 28-02-2016 à 19:35:14
L`Islam au dernier jour (suite 14) FIN
Depuis des décennies, le Moyen-Orient est en constante ébullition. Parmi ceux qui suivent les nouvelles mondiales, nombreux seront ceux qui s’étonneront de ce que nous réserve l’avenir, et du résultat final. Cependant, les prophéties bibliques expliquent d’avance les événements bouleversants, qui conduiront cette religion à la catastrophe d’une Troisième Guerre mondiale ! (Vue globale selon le Monde de Demain)
La Bible insiste sur les événements des temps de la fin, juste avant le retour de Jésus-Christ. A l’approche de Son retour, les événements du Moyen-Orient auront un impact sur notre vie, ainsi que sur celle de tous les habitants de notre planète. La compréhension de ces événements vous aidera à prendre des dispositions pour le bien-être de votre famille. Il vous est possible d’échapper aux désastres et à la condamnation (Luc 21 :36), qui s’abattront sur un monde belliqueux et défiant Dieu.
Le Moyen-Orient semble être une source constante de mauvaises nouvelles. Les prophéties bibliques montrent que ces mauvaises nouvelles continueront à arriver jusqu’au retour de Jésus-Christ. Mais une fois que « l’Harmaguédon » du Moyen-Orient sera passé, une époque de bonnes nouvelles s’ensuivra. Jérusalem vivra alors sous son nom de « ville de la paix ». Une paix et une prospérité millénaires arriveront sous le gouvernement du Messie. En tant que Roi des rois, l`Esprit du Christ gouvernera la terre dans la justice et la droiture à partir de Jérusalem (Actes 2; 17) et toutes les nations apprendront un nouveau mode de vie et le chemin de la paix (Esaïe 11; 1-11) jusqu`à ce qu`une ruine soudaine (celle du Jugement " 2* résurrection " ) surprenne les nations et les ressuscités des 4 extrémités de la terre (vs.12).
Mahomet, fondateur de l’Islam, si on met sa vie et son œuvre à côté de la vie et de l’œuvre de Jésus Christ. Que trouvons-nous chez l’un ? La faillite devant ses propres lois, car Mahomet est bel et bien le premier violateur de ses lois ; il a dépassé le quota d’épouses qu’il avait fixé et sur le plan judiciaire il serait aujourd’hui condamné pour détournement et abus sexuel sur mineure. Quant à son œuvre, on la voit se propager à la pointe de l’épée et dans des fleuves de sang. Tandis que chez Jésus nous le trouvons partout à la hauteur de son enseignement et nous le voyons vivre, vaincre et mourir par la seule force de l’amour. Le seul sang qu’il ait jamais répandu c’était le sien ! (Prédications de Fernand Legrand; www.info-bible.org )
On pourrait dire de Jésus-Christ qu’il est : Un homme à la hauteur de ses prétentions. Il affirme choses extraordinaires. Il dira par exemple : " Celui qui m’a vu, a vu le Père " (Jean 14, 9). Il a dit " Je suis la vérité. Je suis la vie. Je suis le chemin " (Jean 14, 6). Il affirme encore " Sans moi, vous ne pouvez rien faire ". (Jean 15, 4) que cette dernière soit le sujet de notre réflexion.
" Sans moi, vous ne pouvez rien faire ", affirmation percutante du Seigneur ! Certains diront : Affirmation gratuite ! Beaucoup, au contraire, a été fait et continue à se faire dans notre monde sans Jésus-Christ. Si même notre civilisation occidentale a pour label d’origine le christianisme, on ne peut pas dire que le grand monde moderne dans lequel nous vivons s’est fait avec l’aide de Jésus-Christ. Certes, il a dit " Sans moi, vous ne pouvez rien faire " et pourtant ! Si les cathédrales du Moyen Age ont été construites dans un esprit de ferveur religieuse, nos autoroutes, nos gratte-ciel, notre société industrielle, la conquête de la lune et l’élévation du niveau de vie … tout cela n’est pas dû à des gens qui ont imploré le ciel. Encore que James B. Irwing, un des astronomes américains qui a été autour de la lune, est devenu un authentique chrétien. Il a même quitté une carrière spatiale pour se faire évangéliste et parcourir le monde avec cette autre phrase percutante : " Le plus grand moment de l’histoire n’est pas quand l’homme a mis les pieds sur la lune, mais quand Dieu a mis les pieds sur la Terre ".
Jésus a donc dit " Sans moi, vous ne pouvez rien faire ", mais il y a beaucoup de commerçants qui font leurs affaires sans Jésus-Christ, et leur faillite aussi. Beaucoup de monde se passe de lui pour s’enrichir. Leur fortune n’a été précédée d’aucune prière et n’a été suivie d’aucune action de grâce.
Le roi de Babylone, Nebucadnetsar, le maître du plus grand empire du monde à l’époque, pouvait se glorifier lui-même de ce qu’il avait fait tout cela sans l’aide de Dieu . Il dira, en Daniel 4, 30 " N’est-ce pas ici Babylone la grande, que j’ai bâtie pour être la maison de mon royaume, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ?’ Et il n’exagérait pas. Chaque brique de Babylone portait le sceau du roi. Ce n’est pas non plus avec le secours du ciel que le riche insensé de l’Evangile, ou bien les Onassis, les puissants émirs arabes, les fabuleux maharajahs de l’Inde, ont bâti leur fortune colossale. Ils ont fait tout cela sans Jésus-Christ.
La liste des triomphes humains peut s’allonger, depuis le roi de la pédale, l’empereur du ring, la vedette des studios, le chevalier de l’industrie, jusqu’au dictateur sanguinaire. Tous ces gens sont arrivés où ils sont par la seule force des poignets, c’est-à-dire sans Jésus-Christ. Tout beau, tout beau.
Mais moi je ne suis pas si sûr que ces triomphes humains résisteront à l’épreuve du temps. Dans cent ans peut-être, ceux qui nous suivent feront notre procès et nous risquons très fort de nous trouver au banc des accusés. Nos arrières petits-enfants seront peut-être nos juges lucides et impitoyables quand ils analyseront comment nous vivons aujourd’hui sans Jésus-Christ. N’oublions pas les plus grandes civilisations qui ont conquis le monde, et Babylone en particulier! Quand on étudie leur histoire, et l’Histoire tout court, et qu’on voit les ruines de ces empires, on comprend mieux la Bible qui dit que sans Dieu, les nations ont travaillé pour le néant (Jérémie 51, 58). A quoi a bien pu servir le troisième Reich par exemple? C’est une question qu’il était très dangereux de poser en 1933, et en 39, et même en 44. Mais en 45, ce grand Reich, bâti pour mille ans, sans Dieu, s’est écroulé, maudit, et haï par des millions de personnes, ses responsables jugés à Nuremberg et reconnus coupables devant la conscience universelle. Tout cela sans Jésus-Christ, bien-sûr.
Notre société de bien-être n’a pas pensé prendre l’avis ni le secours du ciel. Mais si j’en crois ce que nous disent nos savants, il va bientôt falloir crier " au secours ! ". Où allons nous ? Vers le chaos ! Beaucoup de voix nous disent que nous avons déjà atteint le point de non retour. Nous savons tous qu’il y a une certaine idée, la nôtre, de la croissance économique qui n’est pas viable. Dans un siècle au plus tard, les immenses réserves de pétrole, de gaz et d’énergie seront épuisées. Quand nous aurons dilapidé notre patrimoine et pollué la planète, il ne nous restera plus alors, comme le fils prodigue, que d’aller aux cochons … ou alors de retourner à Dieu.
Un autre exemple des choses que nous faisons sans Jésus-Christ. Nous crions bien haut les bienfaits de l’automobile. J’en ai une, je le précise. Nous ne sommes pas loin de lui donner une sorte d’encens religieux. Elle évoque un vocabulaire particulier. Automobile = émancipation, évasion, liberté, indépendance, mobilité, facilité. J’admets tout cela. Mais, dans notre seul monde occidental, cent mille personnes par an descendent dans une tombe trop tôt creusée. Entre 8.000 et 10.000 en France tous les ans ! Quel holocauste à ce Moloch de nos temps modernes ! Dites-moi : est-ce que les générations futures ne diront pas de nous que nous étions des fous et des barbares ? Ce prix que nous payons sans sourciller dans notre Occident : 100.000 personnes par an ! Deux millions de personnes, sans compter les blessés, en vingt ans ! Cette époque n’apparaît-elle pas comme l’une des plus grandes monstruosités de l’Histoire ? Ce prix, nous le payons sans nous plaindre, bon gré, mal gré. Cette civilisation de progrès ne sera-t-elle pas taxée comme la plus rétrograde de tous les temps ?
Nous croyons être sur le bon chemin. Mais le Seigneur nous dit " Sans moi, vous ne pouvez rien faire ". On ne peut pas, non, pas rendre la vraie justice, sans Jésus-Christ. Que peut-on espérer là où il n’y a plus la crainte de Dieu ? Alexandre Soljenitsyne nous l’a dit : L’Union Soviétique à elle toute seule est responsable de quatre-vingt millions de morts pour une idéologie sans Jésus-Christ.
La Chine ! je n’ose pas penser à ce qui s’y est passé sans Jésus-Christ. Quand la crainte de Dieu disparaît, quelle raison raisonnable peut-on avoir pour croire au bienfait du civisme dans le pays où je vis, dans ma localité, dans mon entourage ? Si j’en tire un profit, pourquoi polluer, enlaidir, détruire serait-il incivique ? Sans Jésus-Christ toujours. L’apôtre Paul justifiait sa conduite en ces termes : " Ayant en Dieu cette espérance qu’il y aura une résurrection des justes et des injustes … c’est pourquoi je m’efforce d’avoir constamment une conscience sans reproche devant Dieu et devant les hommes " (Actes 24, 15). Mais, si vous écartez Dieu de la scène, pourquoi ne pas prendre un plaisir dérobé avec la fille ou la femme du prochain ? Si je ne crois pas en Jésus-Christ, d’où l’homme tient-il sa dignité ? Pourquoi tuer serait-il un crime ? Vous ne jugez pas un chat parce qu’il croque une souris ! Le tout est de savoir d’où je tiens mon code moral. Si ce n’est pas de Dieu, ma vie, votre vie n’a pas plus de valeur que celle d’une souris, d’une mouche qu’on écrase sur une vitre ou d’une génisse qu’on conduit à l’abattoir. Ne l’oublions pas, c’est Lui, c’est Jésus qui donne un sens et une valeur à la vie. Par Jésus-Christ, je sais d’où je viens et où je vais. Je viens de Dieu et je vais vers Dieu. Mais sans Jésus-Christ, je ne viens de rien, je ne vais vers rien et je ne suis rien. La philosophie qui en découle est tout simplement que les gangsters, les braqueurs, les profiteurs, les jouisseurs ont raison quand ils disent " Mangeons et buvons car demain nous mourrons ! " Alors moi j’inverse la proposition : sans Jésus-Christ on peut tout faire. Qu’est-ce qui va déterminer ce qui est juste et bon de ce qu’il ne l’est pas ? Si je ne tiens pas ma conscience de Dieu, si je ne tiens pas mon sens de la justice d’En-Haut, dites-moi de qui est-ce que je les tiens ? Eh bien, je vais vous le dire : l’opinion publique devient alors mon code de moral et les sondages d’opinion remplacent la voix des prophètes. C’était la position des nazis pendant la dernière guerre ! Et cela a coûté six millions de morts au peuple juif, et quarante millions dans le monde. Le nazis étaient justifiés par le code de morale de l’état allemand. Cela nous semble horrible, mais au nom de quoi justifier notre horreur, sinon au nom d’une chose complètement périmée aujourd’hui et qui s’appelle la loi de Dieu. Si je ne suis plus convaincu que l’homme est une création de Dieu, pourquoi la vie de l’homme serait-elle sacrée ? Dites-le moi. Au nom des lois de notre pays ? Oui, mais les lois varient. Tenez, je vais prendre six cas naguère condamnables : la fraude, l’escroquerie et le viol le sont encore mais trois ne le sont plus : l’adultère, la perversion sexuelle et l’avortement, par la seule raison que les goûts et les opinions ont changés. Derrière vous, et il n’y a plus sans Jésus-Christ toujours, que le gouvernement que nous nous sommes donnés par voie démocratique. Et derrière ce gouvernement, il n’y a plus que la matraque et le fusil ; il n’y a rien de plus. " Fernand Legrand "
Il ne reste que la fin du 6* jour de la création d`où l`Islam se veut Maître des nations tout comme au temps de Nébucadnetsar, c`est ce que nous verrons dans la recherche du pourquoi ةsaü et Jacob ? .....Vie et Bible.
FIN
Nous sommes heureux et bénis si nous sommes remplis d'espérance. Marc.