posté le 05-07-2015 à 19:43:08
Les blessures guérissantes (suite 1)
La couronne d`épines: Quelle souffrance inhumaine peut-on ressentir par des épines enfoncées dans le crâne !
Pourquoi affliger une si grande souffrance à Christ, Fils de l`homme, Fils de Dieu ? Une souffrance que personne parmi tous les êtres vivants de la terre n`aurait pu supporter sans perdre connaissance, ou un arrêt du coeur, mais dans ce corps du Fils de l`homme, existait la puissance du Fils de Dieu: Fils de Dieu changeant en vin l`eau à Cana (Jean 2; 11) Fils de Dieu marchant sur les eaux (Matthieu 14; 25) Fils de Dieu ressuscitant Lazare (Jean 11; 44) Fils de l`homme pour la souffrance (Psaumes 22; 18) Fils de Dieu pour la Puissance (Marc 9; 3) etc. etc.
Quel mal de tête, et pourquoi tant souffrir ? Le coeur et la pensée ne font qu`un; C`est d`eux que viennent les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, etc. etc. qui souillent l`homme (l`humain) (Matthieu 15; 19) Il était blessé pour nos péchés (Ésaïe 53; 5) " l`homme pèche tellement ! " Convoitise de toutes sortes (Exode 20; 17) Seul Dieu à le pouvoir d`effacer le méchant dans le coeur humain en le portant lui-même en son corps de Fils d`homme sur la croix (1 Pierre 2; 24) la parole était Dieu (Jean 1; 1) un enfant nous est né....un fils nous est donné....(Ésaïe 9; 5) on l`appellera......
La flagellation.........Pourquoi ?
Il nous faut se rappeler de la sueur de sang du Christ survenue au cours de la nuit de Gethsémané, provoquée par une angoisse extrêmement profonde accompagnée d’une détresse psychologique intense au cours d’une nuit de veille. Cette sueur de sang, ou hémathidrose, est un phénomène rare, mais médicalement connu. La matière colorante du sang, sans les globules, passe à travers les vaisseaux capillaires de la peau et s’évacue par les pores en une sueur rouge. Cette sorte « d’hémorragie capillaire » a pour conséquence de rendre la peau d’une très grande sensibilité et, bien sûr, d’affaiblir considérablement l’organisme, musculaire.
Jésus Fils de Dieu, devait donc abordé la flagellation du corps du Fils de l`homme dans les conditions suivantes, afin que par ses meurtrissures nous retrouvions à la résurrection un corps incorruptible et immortel (1 Cor.15; 53) Fils de l`homme ces os pourront-ìls revivre ? (Ézéchiel 37; 3).
C`est pourquoi, qu`après une nuit sans sommeil et un organisme affaibli par l’épreuve psychologique et par la sueur de sang de Gethsémané, avec une peau devenue hypersensible, Jésus dû supporter dans une douleur extrême la glagellation.
Ce qui surprend les recherches médicales, c’est que les Évangiles ne rapportent aucun évanouissement de Jésus, ni la manifestation d’aucun malaise. On ne peut que rester surpris, sur le plan médical (humain) de constater qu’il a survécu à cette torture sans tomber dans un état comateux débouchant sur la mort après plusieurs évanouissements avertisseurs. On reste d’autant plus surpris, en particulier à la vue des violents et nombreux (plus de 40) coups de fouet, que Jésus ait pu affronter ensuite une crucifixion avec une survie de trois heures sur la croix (Puissance du Fils de Dieu).
Nous voyons par là que: Ce qui est impossible à l`homme est possible à Dieu (Matthieu 19; 26).
Les recherches que nous avons effectuées en particulier sur la flagellation avec des spécialistes en traumatologie, en réanimation et en criminologie nous ont amené à découvrir l’horreur insoupçonnée et l’épreuve extraordinairement douloureuse que représentait la flagellation pour Jésus.
Nos vérifications évangéliques dans le monde de la science sur l’exactitude de ces pathologies décrites précédemment nous ont amenés à la constatation suivante : les connaissances actuelles en médecine d’urgence sont bien incapables d’expliquer cette résistance formidable de Jésus aux tortures endurées lors de la Passion, si ce n`est comme Fils de Dieu.
Celui qui croira, et qui sera baptisé, sera sauvé (Marc 16; 16) or la foi est une ferme assurance des choses qu`on espère, une démontration de celles qu`on ne voit pas (Hébreux 11; 1).
Par ses meurtrissures nous sommes guéris (Ésaïe 53; 5)
La crucifixion qui a percé ses mains et ses pieds (Psaumes 22; 17): Si je ne vois dans ses mains la marque des clous (Jean 20; 25).
Ils pleureront lorsqu`ils verront celui qu`ils ont percé (Zacharie 12; 10).
Selon des écrits trouvés dans les archives du temps de la Rome des Césars, tous les condamnés portaient leur "croix" jusqu’au lieu du supplice ; en réalité ils ne portaient la plupart du temps que la pièce transversale de la croix, celle sur laquelle leurs mains allaient être clouées (ou attachées) pièce de bois qui s’appelait patibulum et qui a donné en français le mot patibulaire (" qui mérite de porter la croix "). Ce patibulum était fixé sur un pieu vertical planté en terre et qu ‘on appelait stipes. Le mot crux désignait au début un simple pieu planté en terre et petit à petit son sens a dévié sur celui du stipes, puis a désigné l’ensemble du bois servant à la crucifixion. Les condamnés portaient le patibulum placé à l`horizontale sur leurs épaules, les avant-bras attachés au bois par des cordes. Le poids moyen d’un patibulum pouvait atteindre environ 20 à 30 kilos, charge proprement écrasante pour un condamné qui venait déjà de subir une flagellation.
Ainsi nous croyons peu probable que Jésus ait eu à porter la croix dans son entier comme on le présente sur certains tableaux, le patibulum étant déjà suffisamment pesant, puisque les Évangiles parlent d`un certain Simon Cyrène (Mtt.27; 32) que les soldats forcèrent à aider Jésus à porter ce bois considéré comme la croix = (qui mérite de......)
Les bourreaux avaient un entraînement sérieux, on l’a bien compris à la lecture effarante du nombre élevé de crucifixions pratiquées du temps des romains trouvée dans leurs écrits; la crucifixion était donc une action bien codifiée, réalisée rapidement et efficacement. Une fois arrivé au lieu du supplice, on déshabillait le condamné, on l’étendait en travers du patibulum, on enclouait (ou attachait solidement) une main, on tirait un peu sur l’autre que l’on enclouait (ou attachait) ensuite, puis on faisait lever le condamné en le dirigeant vers son stipes (poteau planté en terre: 2* partie de la croix) on hissait le patibulum sur le stipes au moyen de câbles, puis, on faisait plier les genoux du condamné et on enclouait (ou attachait) les pieds sur le stipes, étant une sorte de support pour les pieds du condamné, prolongeant ainsi son supplice, c`est pourquoi que nous lisons dans l`Évangile de Jean, que quand un crucifié n`était pas mort avant le coucher du soleil un soir de Sabbat, on lui rompait les jambes (Jean 19; 31).
À suivre
Nous sommes heureux et bénis si nous sommes remplis d'espérance, Marc