posté le 03-11-2013 à 19:15:18
Quand l`homme s`en mêle ! !  (suite 3)
 
    Et l`Église parla ! !
 
 
 
    L' Église catholique apostolique et romaine revendique pour sa part une 
légitimité spécifique de la Parole de Jésus à l'apôtre Pierre, dans l'évangile 
de saint Matthieu : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église… 
Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux » (Mt 16, 15-19)14. Cette phrase 
est rappelée dans le premier message du pape Benoît XVI au terme de la 
concélébration eucharistique avec les cardinaux électeurs dans la chapelle 
Sixtine, le mercredi 20 avril 2005. Celui qui croit et confesse comme Pierre est 
le fondement de l'Église. L'Église catholique romaine se dit universelle parce 
que les enfants de Dieu de tous les pays et de tous les milieux en font partie 
(Ac 2, 47 ; 9, 31) et qu’elle comprend également tous les rachetés déjà 
recueillis auprès du Seigneur (Héb.12, 22-23) ; si elle est en un sens 
invisible, elle est en même temps visible, car elle est incarnée sur la terre 
dans les membres vivants et agissants des églises locales, dont le monde doit 
constater l’amour fraternel, remarquer les bonnes œuvres, et entendre le fidèle 
témoignage (Jn 17, 21 ; 1 Pi 2, 12 ; Ph 2, 15-16).En ce sens, elle est 
multitudiniste.
 
    L'Église apostolique [modifier]  Article détaillé : Succession 
apostolique.
 
    L'Église considère que la mission confiée par le Christ à ses apôtres 
continue à être exercée par elle jusqu'à la fin des temps.
 
    Dans le catholicisme romain, le sacerdoce est le garant de cette 
mission grâce au sacrement de l'Ordre :   l'Ordre comporte trois degrés : 
l'épiscopat, le presbytérat, et le diaconat. Le mot Ordre désignait, dans 
l'antiquité romaine, les corps constitués au sens civil (ordre sénatorial, ordre 
équestre, plèbe), surtout le corps de ceux qui gouvernent. (Voir : Sacrement de 
l'Ordre).
 
    L'Église vue par les mouvements restaurationnistes [modifier].
 
    Articles détaillés : Restaurationnisme (christianisme) et Grande 
Apostasie.
 
    Les mouvements restaurationnistes contestent l'idée de la succession 
apostolique. Selon eux, le monde chrétien aurait subi une apostasie généralisée 
à partir du 1* siècle en raison de leurs divisions internes, leurs erreurs 
d'interprétation ou leurs compromissions avec le monde.
 
    Ces mouvements estiment que le christianisme originel a pu être 
restauré par leur moyen. Pour les adventistes et Témoins de Jéhovah, ce 
rétablissement de la foi originelle pouvait être réalisé par l'interprétation 
littérale de la Bible et un engagement sincère à suivre ses enseignements.
 
    Églises et sectes [modifier]  Article détaillé : Typologie 
webero-troeltschienne.
 
    La sociologie des religions opère une classification des mouvements 
religieux en fonction d'idéaux-types. Au 19* siècle, les sociologues Max Weber 
et Ernst Troeltsch ont défini des modèles classifiant les mouvements chrétiens : 
ces idéaux types « Église » ou « Secte » sont schématiques et n'ont de sens que 
l'un par rapport à l'autre . Les points essentiels d'une Église dans cette 
typologie sont son caractère universaliste, l'existence d'un clergé ; ainsi que 
son attitude par rapport à la société.
 
    Une Église a un caractère universaliste; on y appartient de naissance 
sans qu'il soit besoin de conversion ou de démarche personnelle. L'Église admet 
les tièdes, contrairement à la secte qui demande un engagement personnel.
 
L'Église a un « charisme de fonction » : il existe un clergé et des ordres 
religieux.
 
    Elle est l'alternative sociale de la religion qui prend sa place au 
milieu des institutions profanes. Pour Troeltsch « L'Église est une organisation 
religieuse qui reconnait la force de la société au sein de laquelle elle existe. 
C'est pourquoi elle envisage le monde comme nécessaire, car cette coexistence 
peut lui permettre de la gagner à la religion. D'une part elle ne renonce pas à 
faire des efforts pour influence le monde. D'autre part elle ne perd pas sa 
position en s'opposant directement au pouvoir séculier existant ».
 
    Si nous examinons l`Église actuelle qui existe depuis Constantin (325)  
avec l`Église enseignée aux apôtres, il est évident que nous ne pouvons pas la 
contester de croire selon Elle, que ses racines sont de l`apôtre Pierre ( Et 
moi, le Christ, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai 
mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre 
elle, Je te donnerai les clefs du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la 
terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié 
dans les cieux. » (Matthieu 16; 18-19).
 
    À suivre 
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puissante pour quiconque cherche
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