On ne se moque pas de Dieu. Ce qu`un homme aura semé, il le
moissonnera (Galates 6; 7)
L`apôtre qui a écrit cela, est celui qui a écrit la marche de foi à
suivre pour l`Église, vous et moi qui désirons réellement
être disciple de Christ, être du nombre des 3ooo de la Chambre Haute (Actes
2; 41) celui qui a prêché aucune autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ
crucifié (1 Cor.2; 2).
Pas question d`une Assomption de la mère de Jésus, qui tout à coup
deviendra pour l'Église catholique un dogme, c'est-à-dire un moyen de cheminer
vers Dieu, résultat de la méditation séculaire du peuple de Dieu sur sa foi : on
ne croit au dogme que parce qu'il va dans le sens de la Foi.
Avant d'être un dogme, l'Assomption de Marie était donc une croyance
reposant sur des traditions et non sur des bases scripturaires reconnues des
premiers temps de l'Église.
Comme écrivait Pierre (c`est nous qui traduisons) suivez ici
attentivement cette fable habilement conçue (2 Pi.1; 16)
L'Église catholique a considéré que cette tradition était conforme au
dépôt de la Foi et « longuement mûrie par un siècle de théologie mariale
omniprésente, depuis la proclamation du dogme catholique de l'Immaculée
Conception, dont il n'existe cependant aucune trace dans la Bible.
Vox populi, vox Dei : l'assomption catholique, une croyance d'abord
populaire (modifier).
En 373 [ap. J-C.], Saint Ephrem 2, évoque le concept selon lequel le
corps de Marie serait resté, après son décès, intact - à savoir non atteint par
¨ l'impureté ¨ de la mort.
Au IV* siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il
est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à
ce sujet n'est pas attestée avant le V* siècle.
En Occident, Grégoire de Tours est le premier à en faire mention, à la
fin du VI* siècle. Il s'appuie apparemment sur un corpus de textes apocryphes,
appelés collectivement le Transitus Mariæ, généralement rattaché au V* siècle.
Cet ensemble de textes est explicitement désigné par Gélase I* en 495-496, comme
étant " à ne pas retenir " car apocryphe, jugement qui porte sur cette
compilation et non sur la croyance en elle-même. Selon cette tradition, Marie
rencontre sur le mont des Oliviers un ange qui lui remet une palme de l'arbre de
vie et lui annonce sa mort prochaine. Marie rentre chez elle et fait part de la
nouvelle à son entourage. Miraculeusement, les apôtres reviennent des différents
endroits où ils sont partis prêcher, afin de l'entourer. Jésus apparaît entouré
d'anges pour recevoir l'âme de sa mère, qu'il confie à l'archange Michel. Les
apôtres enterrent le corps au pied du mont des Oliviers. Quelques jours plus
tard, Jésus apparaît de nouveau et emporte le corps au Paradis, où l'âme et le
corps de Marie sont réunis.
Que fait l`Église du verset de Jean 3; 13: Personne n`est monté au
ciel, si ce n`est ? Et celui dans Actes 2; 34, dont l`-
apôtre Pierre lui-même déclare: Que même David n`est pas monté au ciel, et
cela même, après l`Ascension de Christ à la droite de son Père, notre Père
(Actes 1; 11) c`est pourquoi qu`aucune dénomination Évangélique n`a cru au dire
de Rome.
Serions–nous à vivre un autre Évangile ? (Galates 1; 6) même si c`est
un ange du ciel qui a remis à Marie une palme
de l`arbre de vie en lui annonçant sa mort ?
Boule de neige ! ! Oui, boule de neige, toutes ces fables religieuses
habilement conçues, qui fond au soleil, surtout devant le soleil de Justice,
pour quiconque craint le Nom de l`Éternel et le jour qu`Il prépare (Malachie 4;
2-3) ¨ le Sabbat de Dieu, Hébreux 4; 9 ¨ car la Parole de Dieu est vivante et
efficace, plus tranchante qu`une épée quelconque à 2 tranchants (vs.12) Vatican
on non, ou tout autre dénomination depuis l`effusion du St-Esprit à l`Église
vers l`an 31 de notre ère.
Bientôt.......Christ fera paraitre (Actes 2;
19)
FIN
La Bible est une Lumière
puissante pour quiconque cherche